Publié dans : à ma Princesse

 

Qui oserait vous reprocher de vouloir m' écraser :

Vous êtes si belle, belle oui, Divinement belle !!!

Vous n'avez donc pas de compte à rendre, pour cette seule raison, car, ainsi fonctionne le droit dans votre Royaume, et selon
votre désir:

La beauté n'a pas de comptes à rendre à la laideur.


Mais, vous en êtes aussi la
Princesse : vous n'avez de compte à rendre à personne, pas même envers la loi, puisque c'est vous qui la faites, et que vous êtes au dessus d'elle !

Les moindres de vos 
caprices deviennent des ordres, ou des décrets !

Vous avez tous les droits, et ce, sur n'importe lequel de vos sujets, y compris celui de vie et de mort, alors un  sous-sujet comme moi, que vous avez privé de statut humain, de par sa laideur, pensez donc... 

Je me souviens de ces misérables qui avaient osé vous railler, de manière à peine voilée : vous les aviez allongés en travers de la route, les uns a coté des autres, puis, vous leur aviez cassé la tête à coups de bottines, avant de vous assoir au volant de votre carosse, et de leur  éclater le crâne sous les roues...

Le lendemain, plus une seule personne n'osait vous regarder dans les yeux, ni même vous saluer.


Pour moi, ce n'est pas pareil : je sais que je n'avais pas ce droit, et que j'étais obligé de m'adresser à vous le regard baissé.

J'avais passé la matinée à lustrer avec ma langue vos bottes souillées par leur sang et leurs cervelles.

Je vous ai tout au long de ma vie été reconnaissant de m'avoir réduit à l'état d'esclave, de m'avoir permis d'être
votre objet, votre chose, votre cobaye aussi, lors de vos expérimentations sur la douleur.

 

 

 

 

Moi aussi, j'ai eu l'incommensurable bonheur de vous avoir servi de siège !

Moi aussi, j'ai senti le poids de votre corps sur moi, tandis que je tentais avec ma pauvre langue de vous faire du bien...

Comment oublier la chaleur de vos cuisses, si blanches, si chaudes, si humides, si parfaitement rondes, comprimant  ma pauvre tête, ou encore votre délicat séant, l' écrasant, tandis que sur l'air de Djugando, qui vous était si cher, vous vous masturbiez dessus !!!!!

La transpiration, et surtout, ce flot de chaude et odorante cyprine qui coulait de votre fente divine sur mon visage, avant de m'abandonner, aplati, liquéfié, comme vous l'auriez fait d'un vulgaire coussin de cuir..!!!


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Présentation

  • : textes et illustrations de Louis le Gland
  • : adepte du face-sitting, masochiste, sitophile, podophile, urophile, scatophile et coprophage... il y a des sociétés où j'aurais été mis à mort ... j'espère que ma Princesse, un jour, s'en chargera !
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