LOUIS le GLAND
textes et illustrations
Après m'avoir pleinement signifié mon rôle de jouet tout entier voué à ton seul plaisir, tu m'introduis "religieusement", c'est à dire quand et
comme bon te sied, en toi.
Je te remplis, pleinement, épousant ton vagin, comme on épouse la foi.
Un ouragan de désir se lève et se déchaîne en toi, sans jamais faiblir. Te voila parcourue par les arcs électriques dont l'excitation, à son point culminant a chargé les parois avides et ruisselantes de ton vagin, qui maintenant me comprime.
La digue a lâché, et l'océan de tes pulsions, trop longtemps retenu, se décharge en moi : Je me remplis de ton éternité, et ne pouvant plus en contenir, j'explose sous le poids de ta
jouissance.
Après t'être faite jouir avec mon corps, tu me ressors, tout entier recouvert de visqueuse cyprine. Tu n'as pas épargné un seul millimètre de ma misérable chair.
Puis tu me promènes de par les rues, les lieux publics, les terrasses des bistrots, les magasins, afin de m'y montrer, le visage encore tout plissé, moite, tout entier liquéfié et enduit de tes
secrétions vaginales, aussi sûrement que le serait l'assise de skaï de ta chaise, sur laquelle tu aurais mouillé de longues heures durant, exhalant à plusieurs mètres à la ronde, le merveilleux
fumet de ta cyprine.
Et à ceux que l'odeur indisposerait, je leur répondrais le plus simplement du monde que ma femme s'est masturbée sur mon visage.